mercredi 4 septembre 2013

Pourquoi ne faut-il pas se moquer des gros ?



















C'est un sujet qui me tient beaucoup à cœur, surtout depuis que j'ai eu un cours sur l'obésité infantile l'année dernière. Je ne me souviens plus du nom du professeur mais je me souviens très bien de son cours qui avait été absolument génial et qui m'avait beaucoup frappée. C'est donc sur l'obésité infantile que portera cet article.

Tout d'abord il faut garder à l'esprit que l'obésité est une maladie qui a d'énormes répercutions sur la santé (dont je reparlerai un peu plus bas). On la mesure par l'Indice de Masse Corporel (IMC) qui est le poids divisé par la taille au carré. 


Comme vous le savez sûrement l'apport calorique moyen recommandé par jour est par personne est d'environ 2000 kcal, la suralimentation correspond donc a un apport énergétique supérieur à cette valeur.

L'obésité de l'enfant est une maladie des centres cérébraux de régulation du poids, la majorité des gènes connus à ce jour intervenant dans l'IMC ont une expressivité neuronale : c'est à dire que le cerveau pourrait être le siège du dérèglement initial conduisant à l'obésité. Il y a donc une large prédominance de la génétique mais l'environnement joue aussi un rôle dans le développement de l'obésité.  

Chez l'enfant la croissance staturo-pondérale (taille et poids) est "régulière", c'est à dire qu'elle suit une courbe. Vous savez les courbes de votre carnet de croissance sur lesquelles vous reportez votre taille et votre poids quand vous êtes petits. Et bien chaque individu suit une de ces courbes, dans un environnement où il n'y a évidemment pas de privation et où il mange à sa faim. On appelle ça le pondérostat : c'est le système qui maintien le poids à une valeur de référence propre à chaque individu. Ce que je veux faire comprendre c'est qu'un enfant a un pondérostat donné (qui va varier de façon proportionnelle lors de la croissance). Un enfant obèse a donc un pondérostat augmenté par rapport à la moyenne et il reviendra toujours à ce poids. Un enfant prédisposé devient obèse dans un environnement obésogène = disponibilité de la nourriture et sédentarisation.


Pour la dernière partie de l'article je vais citer quelques complications de l'obésité qui fait de cette maladie un réel soucis de santé publique. 
Les maladies cardio-vasculaires : avec l'hypertension artérielle, l'athérosclérose (dépôts de graisse dans les vaisseaux sanguins qui finissent par les boucher) avec un risque accru de maladies cardiaques telles que les infarctus, l'insuffisance cardiaque...
Développement de diabète de type 2 
Syndrome d'apnée du sommeil
Insuffisance veineuse
Dyslipidémies : avec augmentation des triglycérides sanguins, augmentation du cholestérol sanguin...
Arthrose : multiples problèmes de genoux, hanches, pieds, vertèbres... 
Diminution de l'espérance de vie et de sa qualité




mardi 3 septembre 2013

Le Premier !












Ça y est, il faut que je me lance maintenant que ce blog est créé. 
Cela fait très très longtemps que j'y réfléchi et puis je me suis toujours dit que ce serait inutile, que ça n'intéresserait jamais personne... Du coup j'ai laissé cette idée en suspend pendant très longtemps (mon dernier blog devait être quand j'avais 14 ans quand c'était la mode des blog skyrock (je me sens un peu vieillir d'un coup). Et puis je me suis dit que si j'en avais envie il fallait que je le fasse pour moi (ce n'est pas comme si j'hésitais à poser une bombe sous le métro tout de même ! Ce n'est pas moi qui vais changer la face de la terre). 

J'ai décidé que j'allais parler de tout, de n'importe quoi, de tout ce que j'ai envie. Pas de thème, pas de limites. 
Le nom du blog est en rapport avec mes études, et j'en parlerai parce que ma vie est centrée la dessus, mais bon j'ai aussi envie de parler des films qui m'ont fait frémir, des livres qui m'ont happée, de la musique que j'écoute dans le métro, de cuisine parfois, de beauté/make up pourquoi pas, de ma ville : Paris, de la fac, de trucs de filles.

Voila mon blog à moi.